Artiste : Jean Ferrat
Titre : La jeunesse
Paroles : Georges Coulonges
Musique : Jean Ferrat
Cours de guitare gratuits
Intro (à 3temps) : F Bb F F Bb F F Bb F (Tacet)
Rythme à 2 temps
(1) Gm A7 Dm
Quand tu applaudiras sur la cendre du stade
Bb Gm C7 F
Les garçons de l'été au torse de couleur
Dm Gm A7 Dm
Lorsque tu les verras vibrer devant l'estrade
Bb Gm C7 F
Où Vilard et Planchon se firent bateleurs
Dm Gm A7 Dm
Lorsque tu les verras sur les neiges en pente
Dm Gm C7 F
Écrire en noir et blanc et le risque et l'effort
Bb Gm A7 Dm
Quand les filles riront avec leur peau brûlante
Dm Gm A7 Dm
Et la mer qui ruisselle attachée à leur corps
D7 Gm C7 F
Alors, tu comprendras, alors tu aimeras
Bb F Bb F Bb F A7 Dm (Tacet)
La jeunesse, la jeunesse, la jeunesse...
Quand ils t'agaceront, ces sourires futiles
Ces vacarmes du soir, ces indécents chahuts
Quand tu t'affligeras du juke-box imbécile
Et des danses nouvelles que tu ne danses plus
Quand le monôme idiot te barrera la route
Reviens donc sur tes pas, ils mènent au printemps !
Et tu murmureras pour celle qui t'écoute
"Lorsque je faisais ça, moi, j'avais dix-sept ans"
Alors tu comprendras, alors tu aimeras
La jeunesse, la jeunesse, la jeunesse...
Quand tu seras ému devant leur joie de vivre
Devant leur soif d'amour, quand tu auras pleuré
Pour un Alain-Fournier vivant le temps d'un livre
Ou bien pour Guy Môquet mourant au temps d'aimer
Le temps d'aimer se perd, le temps est ce qui passe
Le temps est ce qui meurt, l'espoir est ce qui naît
Regarde ces garçons, ces filles qui s'embrassent !
Il va naître pour eux le temps que tu voulais
Alors tu aimeras, alors tu salueras
Bb F Bb F Bb F
La jeunesse, la jeunesse, la jeunesse... (Ad libitum)
Cours de guitare gratuits
Dernière modification : 2014-02-17
Version : 1.0
Titre : La jeunesse
Paroles : Georges Coulonges
Musique : Jean Ferrat
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Intro (à 3temps) : F Bb F F Bb F F Bb F (Tacet)
Rythme à 2 temps
(1) Gm A7 Dm
Quand tu applaudiras sur la cendre du stade
Bb Gm C7 F
Les garçons de l'été au torse de couleur
Dm Gm A7 Dm
Lorsque tu les verras vibrer devant l'estrade
Bb Gm C7 F
Où Vilard et Planchon se firent bateleurs
Dm Gm A7 Dm
Lorsque tu les verras sur les neiges en pente
Dm Gm C7 F
Écrire en noir et blanc et le risque et l'effort
Bb Gm A7 Dm
Quand les filles riront avec leur peau brûlante
Dm Gm A7 Dm
Et la mer qui ruisselle attachée à leur corps
D7 Gm C7 F
Alors, tu comprendras, alors tu aimeras
Bb F Bb F Bb F A7 Dm (Tacet)
La jeunesse, la jeunesse, la jeunesse...
Quand ils t'agaceront, ces sourires futiles
Ces vacarmes du soir, ces indécents chahuts
Quand tu t'affligeras du juke-box imbécile
Et des danses nouvelles que tu ne danses plus
Quand le monôme idiot te barrera la route
Reviens donc sur tes pas, ils mènent au printemps !
Et tu murmureras pour celle qui t'écoute
"Lorsque je faisais ça, moi, j'avais dix-sept ans"
Alors tu comprendras, alors tu aimeras
La jeunesse, la jeunesse, la jeunesse...
Quand tu seras ému devant leur joie de vivre
Devant leur soif d'amour, quand tu auras pleuré
Pour un Alain-Fournier vivant le temps d'un livre
Ou bien pour Guy Môquet mourant au temps d'aimer
Le temps d'aimer se perd, le temps est ce qui passe
Le temps est ce qui meurt, l'espoir est ce qui naît
Regarde ces garçons, ces filles qui s'embrassent !
Il va naître pour eux le temps que tu voulais
Alors tu aimeras, alors tu salueras
Bb F Bb F Bb F
La jeunesse, la jeunesse, la jeunesse... (Ad libitum)
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