Artiste : Serge Reggiani
Titre : L'arrière saison
Paroles et musique : Gilbert Grenier
Cours de guitare gratuits
Am G C
Il tombait des hallebardes à l'arrière-saison
Am G C
Il y avait des lézardes aux toits de nos maisons
F G C
Et de grands chevaux noirs qui ravageaient le ciel
E7 F C
Et trouaient nos mémoires de doutes éternels, souviens-toi
Am G C
Le temps était au glas, aux larmes et aux frissons
G Am
J'ai tissé dans tes bras, mon arrière-saison
On s'est battu alors à l'arrière-saison
Les orgues de la mort ont joué sur tous les fronts
On ne reverrait plus les cerisiers en fleurs
Ni l'espoir, abattu d'une bombe en plein c½ur, souviens-toi
La tristesse et l'effroi ont balayé nos fronts
Et labouré du doigt, notre arrière-saison
Je suis parti un jour à l'arrière-saison
Sans flûte ni tambour, sans rire ni pardon
Ma jeunesse perdue écartelait son ombre
A la croisée des nues sur un lit de décombres souviens-toi
Nos lettres sont écrites à la chair à canon
Et le sang sèche vite à l'arrière-saison
Et puis est reparue la nouvelle saison
Et je suis revenu refaire la maison
On avait gros le c½ur, on avait, qui peut dire?
C'était comme des fleurs qui n'avaient su mourir, souviens-toi
Comme on s'est embarqué vers le même horizon
Et comme on s'est aimé à l'arrière-saison
Et comme on s'est aimé à l'arrière-saison.
Cours de guitare gratuits
Dernière modification : 2008-11-04
Version : 1.0
Titre : L'arrière saison
Paroles et musique : Gilbert Grenier
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Am G C
Il tombait des hallebardes à l'arrière-saison
Am G C
Il y avait des lézardes aux toits de nos maisons
F G C
Et de grands chevaux noirs qui ravageaient le ciel
E7 F C
Et trouaient nos mémoires de doutes éternels, souviens-toi
Am G C
Le temps était au glas, aux larmes et aux frissons
G Am
J'ai tissé dans tes bras, mon arrière-saison
On s'est battu alors à l'arrière-saison
Les orgues de la mort ont joué sur tous les fronts
On ne reverrait plus les cerisiers en fleurs
Ni l'espoir, abattu d'une bombe en plein c½ur, souviens-toi
La tristesse et l'effroi ont balayé nos fronts
Et labouré du doigt, notre arrière-saison
Je suis parti un jour à l'arrière-saison
Sans flûte ni tambour, sans rire ni pardon
Ma jeunesse perdue écartelait son ombre
A la croisée des nues sur un lit de décombres souviens-toi
Nos lettres sont écrites à la chair à canon
Et le sang sèche vite à l'arrière-saison
Et puis est reparue la nouvelle saison
Et je suis revenu refaire la maison
On avait gros le c½ur, on avait, qui peut dire?
C'était comme des fleurs qui n'avaient su mourir, souviens-toi
Comme on s'est embarqué vers le même horizon
Et comme on s'est aimé à l'arrière-saison
Et comme on s'est aimé à l'arrière-saison.
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